PHENOMENE DE SOCIETE RECONNU ET INSTALLE
Notre société actuelle semble avoir "accepté" le phénomène de "tags, grafitti". Cela se mesure par le passage bien subtil de langage et par conséquent de conception :
"Actes de vandalisme" passage à l'"art de la rue"
"Vandales" passage à "graffiti-artist", "graffeurs", " writers" et "artistes graffs".
Pour notre part, nous reconnaissons l'existence de "grands dessinateurs peintres" parmi ces "graffeurs" et c'est en cela qu'après en avoir pris un certain nombre de photos, nous avons décidé de contribuer à les faire connaître au public. - Olga HELISOA, Paris, 29, 06, 2010
Nos photos sont inédites et protégées par un (C) Copyright.Elles ne peuvent pas être reproduites, ni utilisées même partiellement.
PHENOMENE ESSENTIELLEMENT URBAIN
Tags, grafitti objets de notre blog sont des
manifestations spontanées.
Ils sont surtout nombreux en villes.
Ils sont matérialisés par des photos prises lors de nos déplacements.
Les graffeurs manifestent un certain désaccord avec leur société par ce que nous appelons des
"Shout street art" !
En effet, pour nous ils lancent des
"cris dans la rue à travers leur art" qu'ils rendent bien visuel par de nombreuses manières.
Ces manifestations spontanées, conjoncturelles constituent de perpétuels recommencements
Les graffeurs sont nombreux en villes pour leur plaisir et celui des autres graffeurs avec qui ils sont en "concurrence".
Il s'agit de perpétuels recommencements pour eux et pour les nettoyeurs qui dans certains milieux ont compris et ne les touchent plus !
Tout cela à l'opposé des "Street arts" qui constituent des travaux bien réfléchis, placés à des endroits bien ciblés et conçus pour le plaisir des passants.MADAGASCAR : TAGS - GRAFITTILe phénomène "tags, grafitti" est heureusement relativement encore peu envahissant.
Cela s'explique surtout par le fait que c'est un phénomène essentiellement urbain.
Les "tags" existent et ils correspondent à:
- Contestations politiques
- Interdiction de souiller les milieux (ordures, urines).
- Interdiction de stationner
Photo résumé de types de tags à Madagascar
Ce mur a vu au moins le passage de 3 graffeurs : - Interdiction au voiture de stationner ici
- o + o = $
- ... va se présenter à l'élection de député et ...
Le phénomène "tags, grafitti" n'a pas encore fait corps avec les us et coutumes malgaches car cela s'entend, il vient au-delà des mers !
Et quand bien même, les grafitti existaient, ce ne sont pas les pauvres gens qui les font car le pot de peinture coûte cher et il est primordial de se payer d'abord à nourrir sa famille plutôt que de s'amuser à gaspiller le peu de sous durement gagner. - Olga HELISOA, Paris, 29,06,2010Merci de Laisser un commentaire sous la (les) photo(s)
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